Collection Dominant Domine. Orages D’Été. (7/14)

Rideau car sous les attaques de ces deux maniaques, j’ai tourné de l’œil, quand je reviens à moi il fait nuit, j’ai mal ou les pinces sont toujours placées et ma vulve est devenue insensible comme si on me l’avait arraché.
J’ai une impression de froid, au fond de moi comme si une porte laissée ouverte malgré la chaleur de ce mois de juillet m’apporte une sensation de courant d’air et entre dans mon intimité.
Mes mains sont toujours maintenues par les menottes.
Dire que mon homme doit être persuadé qu’il ne sait rien passer et que ma gentille tortionnaire lui a raconté une belle histoire.
Après le voile noir sur mes yeux que se sont-ils dits, à quel moment m’a telle quitter, ou est-elle ?
Autant de questions que je suis dans l’incapacité de répondre tant que je suis attaché.
Dans mon corps j’ai l’impression d’être rempli dans mon anus, elle a dû m’introduire un objet qui me donne des drôles de sensations quand je me tortille.
Je me retourne et très vite je vois que ce qui ouvre ma chatte à tout vent, c’est un objet qui possède un système certainement d’écartement qui empêche à mon corps de se poser dessus, car une douleur apparaît.
Je constate que j’aime quand elle me fait mal, mais me faire mal moi-même sans au moins un ordre d’elle est contraire à mes principes.
L’écarteur gynéco placé dans ma vulve est ouvert au maximum.
Quant à mes fesses, il faudra que j’attende qu’elle me dise avec quoi elle m’a sodomisé, car j’avoue avoir peu d’expérience pour penser ce qui me remplit divinement le cul.

Il fait jour quand je me réveille, je soulève les jambes comme elle me la fait quand elle m’a attaché.
J’arrive à voir que l’écarteur vaginal où le système d’ouverture est ouvert au plus grand pour que ma chatte soit ouverte au maximum me montre pour la première fois l’intérieur rose de ma vulve.
Je dois perdre l’esprit, mais je me tords le plus possible pour essayer sans y arriver à entrer ma langue à l’intérieur.


Dans cette position, ce qu’elle m’a mis dans le cul m’apporte plus de douleur que de plaisir et je repose mes jambes.

J’entends bouger dans la maison et une heure après elle apparaît toute pimpante dans une de mes robes d’été.
Elle tourne sur elle-même me montrant que dessous sa chatte est nue.

• Tu la reconnais, elle me va bien.
• Oui, et j’ai apprécié de voir ta chatte quand tu as tourné sur toi-même.
• Vicieuse, toujours à avoir des regards salaces et mal placés.
• Il a même émis l’idée que je t’avais volé ton portable, me prendre pour une voleuse, loi qui fait tout pour que tu sois heureuse.

La situation va à une vitesse folle, elle m’a enlevé la boule ce qui nous permet de converser et je ne m’en suis pas aperçu.

• J’espère que tu apprécies le plug dans ton anus, j’ai oublié de te dire, j’ai donné le numéro de ton portable à Achille qui m’a appelé et qui m’a demandé de t’en placer un afin de te préparer à le recevoir demain, tu dois le garder jusque-là.
• Un plug.
• Oui, regarde c’est cet objet en forme de cône.

Elle me l’enlève du trou du cul et me montre cette espèce de toupie qu’elle me replace immédiatement.
Elle dessert l’écarteur et me détache les mains.

• À la douche, petite salope, tu pues.
• C’est de ta faute, tu m’attaches tout le temps.
• Tu veux y retourner.
• Non, j’obéis.

Une douche mais une douche de femme soumise, je me mouille, savonne, rince en moins de 5 minutes moi qui suis habitué à me prélasser dans ma baignoire à bain moussant.
Je dois reconnaître que je traîne souvent dans l’ombre de la baie vitrée pour voir sa très belle plastique surtout qu’elle doit lire un passage savoureux et où le sexe doit être intense, car je la vois se caresser avec sa main libre, elle se branle tout au long de deux pages, trois pages, son corps se tend quand sa chatte éclate.
C’est la première fois pour moi, voir une femme se branler même avec Emmanuelle, ma maîtresse c’est sous ma langue et mes doigts que je la faisais jouir.

Mon intimité est en feu, je suis loin d’avoir fini mon travail, mais je passe la baie ouverte et je m’approche persuadé que je vais être reçu comme une reine puisque je désire lui donner du plaisir.

• Tu as déjà fini ton travail, je veux vivre dans une maison impeccable, pas dans une bauge.
• Je venais pour m’occuper de toi et te donner du plaisir.
• Et c’est moi qui vais finir ton travail.
• Mais j’ai envie de ta chatte, moi-même je suis toute mouillée.
• Il faut savoir me mériter et toi tu fais tout de travers, tu exécutes mes ordres à la perfection, tu as du plaisir, tu fainéantes et c’est la punition qui tombe.
Tu me déçois, je te punis, montes chercher ta cravache et aussi ma valise.

Comme elle y va ma cravache, sa cravache surtout quand je touche mes fesses qui sont toujours sensibles après la tannée ramassée par le paysagiste hier.
En touchant mes fesses, je touche ce qu’elle a appelé un plug.
Je m’y habitue, car j’arrive à complètement l’oublier.
Malgré l’envie d’amour que j’ai de cette belle femelle, un peu dépité, je me dépêche d’allée tout lui apporter.

• Que vais-je trouver pour te donner du plaisir ?
Je dis une vérité mon cœur, tu aimes ce que je te fais.

Si elle le dit, ce doit être cela l’amour d’une femme pour une femme, le plaisir dans la douleur.
Je dois être de plus en plus amoureuse puisque j’accepte d’avoir de plus en plus mal.

• À oui cela pour commencer, je vais te changer ton plug, pour demain celui d’hier manque de diamètre, j’en ai un de 9, il sera parfait le 6 me semble un peu trop petit.
Approche et penche-toi pour me faire voir ton joli petit cul.

Je pose mes mains sur son transat pour tendre mes fesses, les images seraient très belles à voir si elle m’avait filmé.
Le petit diamètre sort facilement, mais il est incroyable de la douleur ressentie quand elle m’introduit le plus gros, j’ai l’impression que l’on m’ouvre en deux.


• Tu crois que la punition est suffisante, excuse-toi, dit moi as-tu un maître ?
• Un maître non, une maîtresse c’est toi bien sur Angélique, tu es mon ange.

Mon ange mais un ange noir, il en faut bien et j’en ai récupéré un sur le parking plus que noir carrément ébène comme les objets que nous avons vus avec Claude à Dakar lors de notre voyage de noces au village artisanal et dont une grande pirogue avec ses rameurs est posée sur notre buffet.

• À partir de maintenant quand tu dois parler de moi tu m’appelles Maître et tu peux ajouter si tu le désir Maître Angélique.
Juliette, avant que j’aille manger, es-tu prête à mourir pour moi, moi je le suis.
• Ma chérie, pardon Maître te perdre serait trop dur, pardon Maître vous perdre serait trop dur, si quelqu’un doit mourir, je préfère que ce soit moi.
• Je te prends au mot, plonge dans la piscine.

Sans hésiter je cours et je saute dans l’eau, je la vois chercher dans sa valise et en ressort deux autres paires de menottes.
Elle me rejoint et m’attache les mains dans le dos et l’autre paire aux chevilles.
Elle me traîne vers le centre où j’ai environ 1 mètre d’eau.

• Si tu m’aimes, tu restes debout sans bouger jusqu’à ce que je revienne, je vais au super marché acheter le téléphone portable que tu as envie de m’offrir mon ange, j’ai vu qu’il faisait de la pub pour un nouveau modèle, un peu chère il est vrai mais pour moi rien n’est trop beau.
Si tu tombes, tu te noies, car ton amour aura été trop faible, si tu changes de place quand je reviens je te place au plus profond je te pousse je dirais au gendarme que tu t’es suicidé.

Je sais que si je bouge les pieds à cause de la paire de menottes, je serais déséquilibrée et que mes mains entravées m’empêcheraient de nager, comme Angélique est partie la fin, viendrai rapidement.
Le plus dur c’est de mourir seul surtout quand mes muscles commencent à se tétaniser, le froid sur la partie inférieure de mon corps et les rayons du soleil sur la partie sortie de l’eau me cuisent rapidement la peau.

On a le temps de penser et ce qui me vient à l’esprit, c’est que si je suis assez amoureuse pour prouver à ma maîtresse que je suis capable de rester dans cette position jusqu’à ce qu’elle me libère demain au club, je serais rouge sur la moitié supérieure de mon corps.
La soif me prend en plus des crampes, mon cerveau commence à me dire qu’il me suffit de me baisser pour prendre un peu d’eau qui m’entoure en grande quantité.
Me suis-je endormi tout ce qui est sûr, c’est qu’un moment je perds l’équilibre et j’arrive à me rétablir miraculeusement.
Sainte-Juliette doit veiller sur moi car grâce à elle, ma soif s’apaise, je rêve qu’elle m’a introduit un plug plus lourd et plus énorme que celui de 9 et qu’il m’attire vers le fond.
Si j’avais su que mourir était si facile, je l’aurais fait plus souvent pour faire plaisir à Emmanuelle qui bizarrement est une Emmanuelle noire qui me prend la bouche pour me tirer avec elle vers les marches.
D’un coup le plug touche le fond de la piscine et tout mon corps se retrouve allongé sur les trois marches permettant d’entrer dans la piscine.
Ma tête sort de l’eau et les lèvres noires sont sur ma bouche.
Pourquoi ce bouche-à-bouche ?
Pourquoi me caresse telle les seins et pourquoi une main descend sur ma chatte dure à ouvrir, car quelque chose m’empêche de les écarter,
Je voudrais caresser les jolis seins noirs qui sont devant moi, mais j’ai oublié que mes mains sont entravées.

• Chérie, tu es folle d’accepter tout ce que je te demande de faire.
Tu sais, j’étais dans la salle et je te surveillais, je te voyais tenir et fléchir et j’espérais que tu m’appelles.
J’ai eu envie de faire pipi et je me suis absentée quelques minutes c’est à ce moment que tu as glissé au fond de l’eau, je suis contente que tu m’aies prouvé tout ton amour, je t’ai fait du bouche-à-bouche, reste là, je vais chercher les clefs pour te détacher.

Je suis contente de ce qu’elle me dit, car je viens de lui prouver tout l’amour qu’elle peut attendre de moi et je suis sûr qu’elle arrêtera ces provocations pour voir jusqu’à ou je suis sa soumise.
Rapidement je déchante, car le temps passe et j’attends son retour.
Les marches finissent par me faire mal et le soleil me cuit de plus en plus, en roulant sur moi-même j’arrive à me retourner.
J’étais dos à la maison ou plutôt, elle m’avait placé dos à la maison, et elle est là sur mon transat à siroter le verre de jus de fruits que j’ai préparé tout à l’heure.
La belle garce, c’est bon de la voir me faire toutes les misères du monde.
J’étais persuadé qu’elle avait un mouvement d’amour pour moi, mais c’est elle mon Maître et moi sa soumise, je suis contente qu’elle ne change rien à ce que j’ai accepté de subir depuis que je l’ai rencontré…

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